Review of La Dolce Vita (1960) by Broyax — 11 Jan 2017
Du cinéma fellinien, du cinéma décousu qui se regarde la virgule et qui ne rime à rien : du remplissage de jean-foutre pendant des plombes, de la parlotte pour ne rien dire, on dirait un film de déménageurs tellement ça meuble.
L'élégant Mastroianni n'y peut rien et déblatère des conneries comme les autres tout en regardant la baleine se baigner dans la fontaine qui n'avait jamais connu un tel affront. Bref, un cloaque pour bobos Télérama et autres étudiants en histoire de l'art événementiel des compressions de César à droite en sortant de l'ascenseur.
Ah j'allais oublier : la musique de Nino Rota est une torture pour les esgourdes.
This review of La Dolce Vita (1960) was written by Broyax on 11 January 2017.
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