Review of Manhattan (1979) by Broyax — 10 Jan 2017
Revoilà Droopy, revoilà Caliméro qui a repris quelques amphètes et/ou sniffé quelques rails et qui se met à soûler tout le monde, à blablater comme un détraqué, comme le pauvre gars névropathe qu'il est depuis toujours.
Il se prend pas pour de la merde le peigne-cul (il doit viser Cannes et son festival de balais dans le fondement -plusieurs à la fois) il tourne carrément en noir et blanc parce que le noir et blanc, c'est comme se racheter une conduite pour un taulard : on vous prend pour un "artiste". Forcément. Mais pourquoi le "noir et blanc" ? s'interroge Télérama. Vous croyez qu'il y a un message (caché) là-dessous ?
Le siphonné de la parlote Woody Woodpecker dans son inépuisable logorrhée déblatère que se taper une jeune plante de 17 balais, c'est -finalement- un bon plan et incontestablement plus sympa que de rester avec cette rombière de Diane Keaton, même si elle ne porte pas de soutif (une féministe...). De toute façon, on s'en fout, ce qui compte, c'est d'en parler avec ses amis, ses ex, ses futures, son public (Positif a adoré) et à sa ville de cubes en béton.
On sent que Caliméro Droopy n'a pas fini de nous faire chier : le pleurnichard binoclard est comme Terminator : impossible à arrêter. Et il ne la ferme jamais.
This review of Manhattan (1979) was written by Broyax on 10 January 2017.
Manhattan has generally received very positive reviews.
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