Review of Seven Psychopaths (2012) by Broyax — 18 Jan 2017
Je ne sais pas qui est ce Martin au nom imprononçable mais on dirait bien un disciple dévôt de Quentin Tarantignole et Guy Richie, les spécialistes invétérés au QI d'invertébrés des comédies adulescentes imbéciles à l'humour 'jackass" de la tête dans le fion. Et si ce n'est pas le cas, ça y ressemble fort, si fort que ça frôle à la fois le pastiche et l'hommage, à l'insu de son ignorance éventuellement.
Malgré une belle distribution, on y retrouve comme dit plus haut l'humour "branchecouille" absurde et outré au possible qui ferait mourir de honte les improbables boutades de Philippe Bouvard lui-même. Ainsi, cette histoire de Mafia à la recherche de leurs clébards enlevés n'arrache pas le moindre sourire ni le plus petit rictus ; par contre, on lève les yeux au plafond et on souffle, on souffle longuement pour s'aérer le cerveau en souffrance.
Voilà donc une kikoololerie très symptomatique de la génération Fèces-Bouc qui contamine le cinéma à très grande vitesse...
This review of Seven Psychopaths (2012) was written by Broyax on 18 January 2017.
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