Review of The Bridges of Madison County (1995) by Broyax — 16 Apr 2020
De temps en temps (même si ça reste heureusement assez rare !) le grand Clint a un sacré coup de mou et nous démoule un film complètement et désespérément tarte... il étale sa merdasse romantico-pleurnicharde sur deux bonnes heures qu'il n'hésite pas à bourrer de guimauve avariée... Il rajoute et surajoute un gros paquet de clichés qu'il balance n'importe comment, puis il engage une actrice expérimentée qui va se pâmer sur le grand Clint puis regretter le grand Clint, encore trop merveilleusement séduisant en jeune papy... ou en pépé pas encore trop fossilisé.
Pendant ce temps-là qui est très long, on ne sait plus si on doit rire de dépit ou s'auto-flageller, le film étant lui-même une auto-flagellation à tenter de regarder : une niaiserie lente mais très concentrée qui s'insinue dans nos veines et nous fait mourir d'ennui. En vérité, devant un tel "film", une telle "oeuvre", toute la collection Harlequin est partie en auto-combustion...
C'est donc ici une chose atroce, atrocement niaise et dégoulinante, interdite par la Convention de Genève... même pour faire parler les prisonniers (trop de cervelles qui implosaient).
This review of The Bridges of Madison County (1995) was written by Broyax on 16 April 2020.
The Bridges of Madison County has generally received very positive reviews.
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