Review of The Horse Whisperer (1998) by Broyax — 18 Sep 2018
C'est Papy Redford (eh oui, déjà Papy à l'époque) mauvais acteur de son état qui fait aussi des films de temps en temps. Heureusement que c'est seulement "de temps en temps" parce qu'il est aussi mauvais réalisateur que mauvais acteur.
Ainsi Papy n'a rien compris à la post-production (il doit confondre avec la Poste) et toutes les chutes, toutes les scènes en trop, il les met quand même dans le film. Du coup, le merdier fait presque 3 heures et là, bonjour les dégâts. Déjà que l'histoire est con-con et neuneu, c'était vraiment pas la peine d'en rajouter et de repasser encore plusieurs couches. Putain, tu vois pas que ça déborde ?
Bon cela dit, moi aussi j'aime beaucoup les chevaux. Je suis comme tout le monde, j'aime les lasagnes. Mais il s'intéresse surtout au canasson accidenté plutôt qu'à la petite ado (la petite Scarlett ololol !) qui veut remonter de toute façon sur le putain de cheval, lequel fait une dépression nerveuse. Mais Papy psychanalyse le bourrin : il lui murmure à l'oreille trois fois par semaine. Et entre-deux, ils jouent aux cartes. Par dessus cette chienlit déjà insupportable de mièvrerie, Papy a rajouté (comme si c'était pas assez) une idylle avec la maman working girl et bizness woman. Qu'est-ce qu'on s'en fout sans déconner ! c'est aussi guimauve et aussi chiant que tout le Montana réuni... Parce que oui, Papy, il est aussi super écolo en plus d'être champion du Quinté+.
This review of The Horse Whisperer (1998) was written by Broyax on 18 September 2018.
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